Chorégraphie: Daniel Léveillé
Danseurs à la creation: Frédéric Boivin, Mathieu Campeau, Stéphane Gladyszewski, David Kilburn, Ivana Milicevic, Dave St-Pierre
Lumières: Marc Parent
Direction des répétitions à la creation: Marie-Andrée Gougeon
Traitement sonore: David Kilburn, Laurent Maslé
Photographes: Jacques Grenier, Rolline Laporte
Durée: approximative 60 minutes
Date et lieu de la première: Studio de l'Agora de la danse, juin 2004
Mise Partenaires: L’Agora de la Danse, Brian Webb Dance Company, Festival Danse Canada, Centre national des Arts, Vancouver East Cultural Centre, et le réseau CanDanse.
La pudeur des icebergs, cristallisation d'une réflexion sur la présence fragile de soi à l'autre. Sur la scène, nous découvrons, bouleversés, des corps nus dans un espace nu subissant l'essentielle vulnérabilité de la condition humaine où l'être remporte parfois des victoires inespérées sur le paraître. Les trios alternent avec les duos, et l'absence de compétition amoureuse neutralise toute forme d'exclusion. Car ce n'est pas de conquête qu'il s'agit mais plutôt d'une exploration de tous les possibles et des efforts inouïs qu'exige le simple fait d'être vivant. Avec cette oeuvre épurée, Daniel Léveillé creuse encore plus profondément le seul et même sillon : la dure confrontation du corps face au corps de l'autre, les mystérieuses relations des corps dans l'espace, le tracé, l'élan et la chute inexorable du mouvement.
Danseurs à la creation: Frédéric Boivin, Mathieu Campeau, Stéphane Gladyszewski, David Kilburn, Ivana Milicevic, Dave St-Pierre
Lumières: Marc Parent
Direction des répétitions à la creation: Marie-Andrée Gougeon
Traitement sonore: David Kilburn, Laurent Maslé
Photographes: Jacques Grenier, Rolline Laporte
Durée: approximative 60 minutes
Date et lieu de la première: Studio de l'Agora de la danse, juin 2004
Mise Partenaires: L’Agora de la Danse, Brian Webb Dance Company, Festival Danse Canada, Centre national des Arts, Vancouver East Cultural Centre, et le réseau CanDanse.
La pudeur des icebergs, cristallisation d'une réflexion sur la présence fragile de soi à l'autre. Sur la scène, nous découvrons, bouleversés, des corps nus dans un espace nu subissant l'essentielle vulnérabilité de la condition humaine où l'être remporte parfois des victoires inespérées sur le paraître. Les trios alternent avec les duos, et l'absence de compétition amoureuse neutralise toute forme d'exclusion. Car ce n'est pas de conquête qu'il s'agit mais plutôt d'une exploration de tous les possibles et des efforts inouïs qu'exige le simple fait d'être vivant. Avec cette oeuvre épurée, Daniel Léveillé creuse encore plus profondément le seul et même sillon : la dure confrontation du corps face au corps de l'autre, les mystérieuses relations des corps dans l'espace, le tracé, l'élan et la chute inexorable du mouvement.