Chorégraphe: Isabelle Van Grimde
Assistante à la chorégraphe: Soula Trougakos
Interprétation: Marie Brassard, Sophie Breton, Robin Poitras, Soula Trougakos et Brian Webb
Artistes visuels et médiatiques: Derek Besant, Brennan/Caulfied/Mills, Kate Craig, Nadia Myre, Marilène Olivier et Monique Régimbald-Zeiber
Architecture et scénographie: Anick La Bissonnière en collaboration avec Éric O. Lacroix
Musique: Thom Gossage
Lumières: Lucie Bazzo
Vidéo: Foumalade
Essais: Dr Cristian Berco et Dr Dawna Gilchrist
Comité de conseil en arts visuels: Louise Déry et Kitty Scott
Photos: Michael Slobodian
Premiere: May 29, 2012
Mise Partenaires: Festival TransAmériques, The Brian Webb Dance Company, Canada Dance Festival, Festival Danse, Centennial Theatre (through La Danse sur les routes du Quebec), and The CanDance Network
Les artistes et les penseurs rassemblés sur le terrain hybride de cette création-exposition ont tous une vision singulière et forte du corps. En mettant à leur disposition des éléments théoriques et chorégraphiques pour que, ancrés dans leur propre expérience, ils créent des œuvres originales, j’ai voulu donner de multiples échos à mes questionnements et offrir au spectateur-visiteur une expérience éclatée susceptible d’ouvrir de nouvelles voies à sa proper perception du corps.
Certains des artistes exposés interrogent l’avenir en plaçant le corps vivant en dialogue avec son génome, avec sa transposition numérique ou avec sa dimension onirique. D’autres résistent à l’ère technologique, mettant en scène l’être humain dans un labeur physique éternel où les outils étendent ses capacités physiques – cyborg originel par opposition au cyborg actuel branché sur des ordinateurs qui prolongent le mental, qui permettent de se projeter dans différents espaces et qui façonnent de nouvelles images du corps.
Quels sont la place et le sort réservés au corps physique à l’heure où la technologie permet de le modifier et où le virtuel transforme notre rapport au monde? Face à ces questionnements, les artistes explorent de nouvelles façons de présenter le corps, et les traces fugaces du passage des danseurs dans l’exposition, comme leur présence sensible, sont d’autant plus poignantes.
Assistante à la chorégraphe: Soula Trougakos
Interprétation: Marie Brassard, Sophie Breton, Robin Poitras, Soula Trougakos et Brian Webb
Artistes visuels et médiatiques: Derek Besant, Brennan/Caulfied/Mills, Kate Craig, Nadia Myre, Marilène Olivier et Monique Régimbald-Zeiber
Architecture et scénographie: Anick La Bissonnière en collaboration avec Éric O. Lacroix
Musique: Thom Gossage
Lumières: Lucie Bazzo
Vidéo: Foumalade
Essais: Dr Cristian Berco et Dr Dawna Gilchrist
Comité de conseil en arts visuels: Louise Déry et Kitty Scott
Photos: Michael Slobodian
Premiere: May 29, 2012
Mise Partenaires: Festival TransAmériques, The Brian Webb Dance Company, Canada Dance Festival, Festival Danse, Centennial Theatre (through La Danse sur les routes du Quebec), and The CanDance Network
Les artistes et les penseurs rassemblés sur le terrain hybride de cette création-exposition ont tous une vision singulière et forte du corps. En mettant à leur disposition des éléments théoriques et chorégraphiques pour que, ancrés dans leur propre expérience, ils créent des œuvres originales, j’ai voulu donner de multiples échos à mes questionnements et offrir au spectateur-visiteur une expérience éclatée susceptible d’ouvrir de nouvelles voies à sa proper perception du corps.
Certains des artistes exposés interrogent l’avenir en plaçant le corps vivant en dialogue avec son génome, avec sa transposition numérique ou avec sa dimension onirique. D’autres résistent à l’ère technologique, mettant en scène l’être humain dans un labeur physique éternel où les outils étendent ses capacités physiques – cyborg originel par opposition au cyborg actuel branché sur des ordinateurs qui prolongent le mental, qui permettent de se projeter dans différents espaces et qui façonnent de nouvelles images du corps.
Quels sont la place et le sort réservés au corps physique à l’heure où la technologie permet de le modifier et où le virtuel transforme notre rapport au monde? Face à ces questionnements, les artistes explorent de nouvelles façons de présenter le corps, et les traces fugaces du passage des danseurs dans l’exposition, comme leur présence sensible, sont d’autant plus poignantes.