
Cofondé en 1981 par Cathy Ferri et Agnes Walsh, Neighbourhood Dance Works (NDW) est d’abord un collectif dédié à la création de pièces de danse innovatrices à St. John’s. Avec le développement de l’organisme, une série de spectacles est mise sur pied pour mettre en vedette le talent de région ainsi que des œuvres de chefs de file en danse au Canada. NDW devient ainsi le principal diffuseur de danse moderne dans la province. En 1990, NDW présente le premier Festival of New Danse. Maintenant, plus de vingt ans plus tard, le festival jouit d’une réputation pour une programmation éclectique et stimulante de chorégraphies du Canada et de l’étranger, tout en exposant les artistes de la région à de nouveaux publics.
CanDanse : Qu’est-ce qui rend NDW unique dans la communauté de diffuseurs de danse au Canada ?
Calla : Notre emplacement intéresse les artistes qui participent au festival. Nous sommes situés au point le plus à l’est de l’Amérique du Nord. L’océan débridé, les falaises escarpées et les South Side Hills enchanteresses encadrent la ville : c’est un contexte saisissant pour le festival. On aperçoit les artistes que nous invitons en jogging sur Signal Hill ou en randonnée sur le East Coast Trail dans leurs quelques moments de loisir avant et après les spectacles. Ils me disent encore et encore comment ils souhaitent revenir au festival, non seulement pour renouer avec les spectateurs, mais pour revivre le lieu. Nous ne sommes évidemment pas responsables du travail de dame nature, mais nous sommes chanceux de profiter de sa beauté.
CanDanse : Quel artiste de danse canadien ou compagnie canadienne souhaitez-vous présenter ?
Calla : Si nous avions des fonds et un temps illimité, je voudrais présenter tout le monde. Je le dis sérieusement. J’aimerais avoir un énorme marathon de danse avec des spectacles dos à dos pendant tout un mois. À court terme, je souhaite présenter So Blue de Louise Lecavalier au Longshoremen’s Projective Union – notre hall historique LSPU.
CanDanse : Pouvez-vous décrire des réussites de NDW quant aux spectacles et à l’engagement du public ?
Calla : Les spectacles qui font encore parler nos spectateurs comptent Tedd Robinson qui tient cet incroyable bâton sur la tête ; Dulcinea Langfelder dans Portrait of a Woman with a Suitcase ; Peggy Baker dans une magnifique représentation de Portal après qu’elle eut été égarée dans un gîte en raison de l’ouragan Igor ; la salle instantanément sur les pieds après une première de Margie Gillis ; et l’inoubliable prestation de Roger Sinha dans Burning Skin. Et encore, les artistes de notre région : Louise Moyes dans My Secret Pig, Barry Nicols dans Moose Man et le superbe duo de Sarah Joy Stoker et de Peter Trotzmer, Broken Accidents. Ce mélange de talent de chez nous et d’artistes d’ailleurs crée tellement de moments mémorables.
CanDanse : Qu’est-ce qui rend NDW unique dans la communauté de diffuseurs de danse au Canada ?
Calla : Notre emplacement intéresse les artistes qui participent au festival. Nous sommes situés au point le plus à l’est de l’Amérique du Nord. L’océan débridé, les falaises escarpées et les South Side Hills enchanteresses encadrent la ville : c’est un contexte saisissant pour le festival. On aperçoit les artistes que nous invitons en jogging sur Signal Hill ou en randonnée sur le East Coast Trail dans leurs quelques moments de loisir avant et après les spectacles. Ils me disent encore et encore comment ils souhaitent revenir au festival, non seulement pour renouer avec les spectateurs, mais pour revivre le lieu. Nous ne sommes évidemment pas responsables du travail de dame nature, mais nous sommes chanceux de profiter de sa beauté.
CanDanse : Quel artiste de danse canadien ou compagnie canadienne souhaitez-vous présenter ?
Calla : Si nous avions des fonds et un temps illimité, je voudrais présenter tout le monde. Je le dis sérieusement. J’aimerais avoir un énorme marathon de danse avec des spectacles dos à dos pendant tout un mois. À court terme, je souhaite présenter So Blue de Louise Lecavalier au Longshoremen’s Projective Union – notre hall historique LSPU.
CanDanse : Pouvez-vous décrire des réussites de NDW quant aux spectacles et à l’engagement du public ?
Calla : Les spectacles qui font encore parler nos spectateurs comptent Tedd Robinson qui tient cet incroyable bâton sur la tête ; Dulcinea Langfelder dans Portrait of a Woman with a Suitcase ; Peggy Baker dans une magnifique représentation de Portal après qu’elle eut été égarée dans un gîte en raison de l’ouragan Igor ; la salle instantanément sur les pieds après une première de Margie Gillis ; et l’inoubliable prestation de Roger Sinha dans Burning Skin. Et encore, les artistes de notre région : Louise Moyes dans My Secret Pig, Barry Nicols dans Moose Man et le superbe duo de Sarah Joy Stoker et de Peter Trotzmer, Broken Accidents. Ce mélange de talent de chez nous et d’artistes d’ailleurs crée tellement de moments mémorables.